Cette tendance confirme le sondage effectué par Alma Consulting Group en janvier dernier auprès de DRH essentiellement présents dans des entreprises de taille moyenne ou des organismes publics. Selon cet indicateur, l’absentéisme aurait progressé d'un point en 2009 pour atteindre 4,85% aujourd’hui.
Ce phénomène est d’autant plus remarquable que l’absentéisme est traditionnellement corrélé à la conjoncture économique : il baisse quand le chômage augmente et augmente quand le chômage baisse. Avec l’envolée du chômage en 2009, on aurait donc pu s’attendre au contraire à un fléchissement des absences, les salariés ayant tendance à adopter un comportement irréprochable en temps de crise, de peur d’être licenciés. Dès lors, comment expliquer la hausse observée ?
A suivre...
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